Les formes de sociétés agricoles ayant besoin d’un extrait Kbis

Pour qu’une exploitation agricole soit légale en tant qu’entreprise, il faut qu’elle soit immatriculée. Toutes les entreprises agricoles qui s’inscrivent au RCS ou Registre du Commerce et des Sociétés obtiennent un extrait Kbis lors de leur création. L’extrait Kbis est non seulement la carte d’identité de l’entreprise agricole, mais il permet aussi à celle-ci d’effectuer des démarches administratives et commerciales. À l’exception de l’entreprise individuelle et de la Société en Participation ou SEP dans le secteur agricole, les autres formes de sociétés agricoles doivent obtenir l’extrait Kbis. L’inscription des sociétés individuelles à activité agricole se fait à la chambre d’agriculture.
Les entreprises d’exploitation agricole concernées par la demande d’extrait de Kbis sont :
– Le Groupement Foncier Agricole ou GFA,
– La Société Civile d’Exploitation Agricole ou SCEA,
– Le Groupement Agricole d’Exploitation en Commun ou GAEC,
– Le Groupement d’intérêt Economique ou GIE,
– L’Exploitation Agricole à Responsabilité Limitée ou EARL,
– La Société à Responsabilité Limitée ou SARL,
– La Société par Actions Simplifiées ou SAS,
– La Société Anonyme ou SA,
– Les Sociétés en Nom Collectif ou SNC,

Le contenu d’un extrait Kbis d’une société agricole

Comme pour une société commerciale, l’extrait Kbis d’une société agricole fournit toutes les informations sur l’entreprise. Ces informations permettent au public de connaître l’entreprise, ses activités et son état de santé. Ainsi, vous y trouverez :
– la raison sociale de la société agricole et éventuellement son sigle et son enseigne
– l’objet social de l’entreprise agricole
– l’activité ainsi que le code APE de la société
– le greffe d’immatriculation
– le statut juridique de la société agricole
– le montant du capital social
– l’adresse du siège social
– la date de création de l’entreprise
– le numéro et la date d’immatriculation de la société agricole au RCS
– l’identité du président ou du représentant légal de la société agricole
– l’identité des dirigeants et des membres du conseil d’administration
– l’identité des commissaires aux comptes
– le nom de domaine ou le site internet de la société agricole
– Mention d’une ouverture de procédure collective à l’encontre de la société agricole
Certaines informations peuvent ne pas figurer dans l’extrait Kbis, tandis que d’autres peuvent être rajoutées. Lorsqu’il y a un changement au niveau de la société agricole, l’extrait Kbis doit également être mis jour.

L’utilité de l’extrait Kbis pour une société agricole

En plus de servir de carte d’identité, l’extrait Kbis d’une exploitation agricole est également indispensable pour accomplir des démarches administratives. Vous devez présenter votre extrait Kbis lors de l’ouverture du compte bancaire professionnel rattaché à l’entreprise agricole. Par ailleurs, ce document est aussi indispensable si l’entreprise agricole a besoin de demander un financement. Il vous sera également utile pour établir des relations professionnelles avec d’autres établissements. Vous en aurez besoin pour l’achat de fournitures chez un grossiste, pour l’achat d’engins, pour l’achat des divers produits dont vous aurez besoin selon les activités de votre exploitation agricole. L’inverse est également valable, car vous serez amené à le présenter afin de vendre vos produits sur le marché. Plus important encore, ces informations peuvent susciter l’intérêt d’autres établissements dans le cadre d’une collaboration. La concurrence peut également y avoir accès afin de s’informer. Enfin, l’extrait Kbis permet aussi de poser sa candidature dans les appels d’offres, qu’ils soient du domaine public ou privé.

Comment obtenir l’extrait Kbis d’une société agricole

Pour une entreprise d’exploitation agricole, l’extrait Kbis est délivré par le greffe du tribunal de commerce auquel celle-ci est rattachée. Il est obtenu quelques jours après l’immatriculation auprès du RCS. Pendant ce délai d’attente, le dirigeant peut se procurer un extrait provisoire.
3 possibilités s’offrent aux entreprises agricoles pour en faire la demande lorsqu’elles en ont besoin.
Elles peuvent aller directement au tribunal de commerce à laquelle est liée l’entreprise agricole et en faire la demande. Cette demande d’extrait Kbis n’est pas gratuite si elle est effectuée sur place. Il est aussi possible de solliciter les services de formalistes en ligne pour en faire la demande. Vous pouvez avoir tous les détails ici. Vous pourrez également la faire sur le site de monidenum.fr en activant votre compte en tant que chef d’entreprise de l’exploitation agricole en question. La demande sur ce site est réservée au dirigeant de l’exploitation agricole. Les démarches à suivre se font en ligne et l’extrait Kbis obtenu sera sous format numérique, cela gratuitement.
La troisième possibilité est de faire sa demande d’extrait Kbis sur le site d’Infogreffe. Dans ce cas, vous pouvez choisir de vous faire livrer le document par courrier postal. Mais vous pouvez aussi opter pour un format électronique envoyé par mail ou directement téléchargeable. Si besoin est, il est conseillé de demander à ce que l’envoi du document se fasse périodiquement. Bien que la validité d’un extrait Kbis ne soit pas obligatoirement limitée par le temps, il est recommandé d’utiliser un document datant de moins de 3 mois. Ce qui fait que l’option d’un envoi régulier sous format physique ou numérique est plus intéressante.
Les autres entreprises peuvent obtenir l’extrait Kbis d’une société agricole en allant sur le site d’Infogreffe, en ayant recours aux services d’un formaliste indépendant ou en se rendant au tribunal de commerce concerné. Ils doivent fournir au greffe du tribunal de commerce le nom de l’entreprise agricole en question ainsi que le numéro SIREN ou SIRET.

En cas de modification de l’extrait Kbis

Toutes les informations contenues dans l’extrait Kbis d’une société d’exploitation agricole doivent aussi être tenues à jour. Si un changement s’opère au sein de l’exploitation agricole, il est du devoir de celle-ci de reporter les modifications auprès du tribunal de commerce auquel elle est liée. Il peut s’agir d’un changement du siège social, de la raison sociale, du gérant ou d’un autre statut. Selon le type de changement dans l’entreprise, la décision peut être prise par le dirigeant ou après une assemblée générale extraordinaire des associés.
Il est impératif de publier l’avis de changement dans un journal d’annonces légales dans le mois qui suit la modification. On doit y voir :
– la forme juridique de l’entreprise agricole
– le montant du capital social
– l’adresse du siège social
– la raison sociale
– l’objet de la modification
– la date de modification de l’extrait Kbis
Plusieurs pièces sont à fournir pour que le greffe du tribunal de commerce puisse valider les nouvelles modifications et procéder à la mise à jour du registre en ce sens. De ce fait, l’entreprise agricole doit fournir :
– l’exemplaire de la décision de modification
– le formulaire de déclaration de modification d’une entreprise agricole M2 ou cerfa N° 11928*06
– l’attestation de parution dans un journal d’annonces légales
– l’exemplaire des statuts modifiés
– s’il s’agit de changement du dirigeant, il faut y joindre le formulaire de changement de gérant M3, la copie de la carte d’identité du nouveau gérant ainsi que la déclaration sur l’honneur de non-condamnation et de filiation.

Les services d’un formaliste privé pour la demande d’un extrait Kbis

De nos jours, il est possible de faire appel à des professionnels pour entamer les démarches administratives pour la demande d’un extrait Kbis. Il s’agit des formalistes ou intermédiaires privés professionnels. L’avantage du recours au service de ces formalistes réside justement dans leur professionnalisme et leur familiarité avec le milieu juridique. Par ailleurs, les formalistes privés ont l’habitude de toutes les procédures à suivre et des documents à fournir. Il sera plus facile pour le greffe du tribunal de commerce de suivre les dossiers lorsqu’ils sont complets. De plus, les formalistes proposent l’obtention d’un extrait Kbis express. Les services d’un formaliste indépendant ne sont pas gratuits, mais le gain de temps l’emporte. Les formalistes sont nombreux sur les sites spécialisés. On peut choisir celui avec lequel collaborer pour sa demande ou sa modification d’extrait Kbis, mais aussi pour les autres démarches administratives de l’entreprise agricole en général.

Entretenir sa santé physique

En tout premier lieu, il est essentiel de prendre soin de sa santé physique. Si le corps n’est pas équilibré, alors il sera difficile de tenir le rythme en travaillant. On considère alors le corps comme une entreprise en l’entretenant quotidiennement. Cela repose donc sur une alimentation équilibrée et complète. Sauter des repas ou manger sur le pouce est fortement déconseillé.
Cela concerne également la pratique d’une activité physique pour éviter toute maladie tout en endurcissant son organisme. Aussi, il est essentiel de prendre du temps pour se reposer, même si on a l’impression que le travail ne peut pas attendre. On s’assure alors d’avoir des heures de sommeil complètes toutes les nuits afin d’avoir l’énergie dont on a besoin en journée.

Se familiariser avec la gestion du stress

Quand on est entrepreneur, on est toujours exposé aux divers problèmes et situations génératrices de stress dans son travail. Si le stress peut être un moteur de productivité, il est également source de maladies et peut fragiliser la santé mentale. Il est donc essentiel de se munir de tous les outils pour gérer son stress afin d’y faire face convenablement.
Pour cela, on apprend à déterminer les conséquences du stress sur son organisme. On le repère par l’augmentation du rythme cardiaque, ou un sentiment de détresse face à un problème. Dans certains cas, il est même conseillé de consulter un professionnel pour pouvoir le gérer.

Le parcours universitaire

Pour devenir expert-comptable, il faut être titulaire d’un Diplôme de l’Expertise Comptable(DEC) et être souscrit au tableau de l’ordre des experts comptables. Le DEC est l’équivalent d’un BAC+8 et ce parcours est suivi obligatoirement d’un stage rémunéré de 3 ans. Cette étape sera ensuite accompagnée d’un examen final.

Les missions

Le savoir-faire d’un expert-comptable est multiple. À part les missions comptables qui sont l’établissement et la consolidation des comptes de l’entreprise, d’autres tâches lui sont également confiées. Il est responsable des activités de conseil juridique, fiscal et social de l’entreprise ainsi que d’assistance. Il exerce enfin une révision comptable et travaille en relation directe avec les informaticiens, juristes, banques, etc.

Le cadre d’intervention

Un expert-comptable peut travailler en cabinet ou en entreprise. En cabinet, les services varient en fonction des besoins du client. Il est très polyvalent et agit dans tous les domaines de la société : social, gestion, fiscal, conseil, etc. En entreprise, il aura les mêmes tâches, mais pour le compte de l‘entreprise qui l’emploie.

Le salaire

Effectivement, le salaire varie selon les expériences de l’expert-comptable et de l’importance des tâches qui lui sont confiées. Si un jeune salarié perçoit un salaire net de 2 500 euros par mois, un expert-comptable expérimenté peut être rémunéré d’une somme nette de 5 000 euros allant jusqu’à 9 000 euros par mois.

Les évolutions de carrière

La première évolution de carrière est le passage de l’expert-comptable salarié à un expert-comptable libéral. Ce métier libéral permet à l’expert de travailler où il veut et quand il veut. Cependant, l’expert-comptable peut devenir un commissaire aux comptes, un directeur comptable voire un directeur financier d’une entreprise.

Une question d’efficacité

Externalisez la mise en place de l’inventaire d’archives au sein de votre entreprise. Dans ce domaine, rien ne vaut une solution sur-mesure. Seuls un expert ou une agence spécialisée dans l’archivage peuvent la créer. L’avantage principal d’un inventaire d’archives est la possibilité d’avoir une présentation facilement compréhensible, détaillée et précise de l’ensemble des documents présents dans vos archives. Généralement, le système de cotes est adopté dans les solutions d’inventaire d’archives. Il est associé à d’autres méthodes pour plus de rigueur dans les classements. L’inventaire d’archives aboutit à la catégorisation des différents documents de vos archives. Les catégories sont rangées au sein de dossiers dont l’ensemble constitue ce que l’on appelle un fonds d’archives. Cette description démontre combien la précision est essentielle en matière d’archivage. Elle met également en avant le fait que l’inventaire d’archives doit être mis en œuvre par une personne expérimentée avec une forte capacité de synthèse et d’analyse. Encore une fois, l’objectif est que tous les individus qui viennent consulter les archives ne perdent pas de temps dans les recherches avant d’enfin mettre la main sur les documents qui l’intéresse.

D’autres avantages

Les retombées positives d’un inventaire d’archives ne se limitent pas à des questions d’efficacité, c’est-à-dire, de rapidité et de facilité quant à la recherche des documents. L’instauration de cet instrument garantit une excellente conservation des archives : cela signifie que le propriétaire des archives n’aura aucun problème à respecter leurs durées légales de conservation. Cela signifie également que les conservations peuvent se faire sur des années sans qu’aucune dégradation ne survienne sur les documents. En outre, il rend possible la traçabilité des documents figurant dans les fonds d’archives. Rapidité de recherches, facilité de mise à disposition, traçabilité, conservation, protection : voilà quelques-uns des atouts de la mise en place d’un inventaire des archives. Tous ces points sont essentiels, car ils permettent d’avoir des archives de très grande qualité et exploitables à tout moment. C’est ce qui se produit lors d’un litige par exemple : il peut arriver que les documents conservés dans les archives puissent être utilisés comme preuves. S’ils sont en excellent état, ce sera un bon point pour le dossier en cours d’instruction au tribunal. Autre conseil, pour une bonne gestion des archives en interne, pensez à confier celle-ci à un employé qui a suivi une formation dans ce domaine. Ou alors, offrez une formation au salarié qui tiendra cette fonction. L’idéal serait d’avoir un employé à la fois expérimenté et formé en matière d’archivage. Pour finir, les types d’inventaire des archives doivent être pris en compte dans la mise en place d’une méthode d’inventaire des archives au sein d’une entreprise ou d’une organisation.

Que gagne une entreprise à motiver ses collaborateurs ?

Une entreprise, pour vivre longtemps et atteindre ses objectifs de chiffre d’affaires, a besoin de ressources humaines bien formées et qualifiées. Néanmoins, la motivation des collaborateurs est indispensable, quelle que soit la compétence des employés, pour amener une organisation à un niveau très élevé. En tant que dirigeant, cette responsabilité vous incombe, car les performances financières qui en découleront vous seront non seulement profitables, mais seront également pour la satisfaction des collaborateurs.
Lorsque vous adoptez un style de management incitatif pour vos collaborateurs, ils ont plus d’estime pour votre personne et vous mettent sur un piédestal très élevé. Aussi, ils ne considèrent pas la société comme un univers contraignant et sont absolument dévoués à la tâche. Indubitablement, vous n’aurez à observer aucune réserve dans l’exécution des fonctions, quand la motivation des collaborateurs est à son paroxysme. Il faut également ajouter que, lorsqu’ils sont motivés, vos employés atteindront des niveaux de performances sociales notables et feront du cadre de travail, un havre de paix.
Aujourd’hui, les jeunes diplômés sont à la quête d’une entreprise pouvant leur offrir une certaine stabilité et leur permettre de créer de la valeur, tout en étant mis en valeur. Ces facteurs influent beaucoup la décision des jeunes talents à choisir telle ou telle entreprise pour performer. Pour empêcher la fuite des employés vers d’autres structures, peut-être concurrentes, vous pouvez donc faire de la motivation des collaborateurs, une arme énergique qui leur permettra en retour, de travailler avec efficacité et efficience.

Quels sont les moyens par lesquelles les employés peuvent être motivés ?

Il y a quelques décennies, les chefs d’entreprises qui connaissaient un succès fulgurant, avaient recours à un management directif avec une rigueur arbitraire et téméraire dans la gestion de leurs salariés. Tout cela parce que la main d’œuvre n’était pas toujours qualifiée. De nos jours, avec les nombreuses formations et diplômes qu’acquièrent les travailleurs, la donne change. La RH en entreprise doit être prise en compte afin d’arriver à un niveau de motivation des collaborateurs élevé. Cela participe également au bien-être et à la fidélisation des salariés lorsqu’ils sont épanouis.
Un bon manager peut disposer de plusieurs cordes à son arc pour inciter ses collaborateurs à se donner à fond. Bien sûr qu’il y a des moyens pécuniaires tels que la revalorisation salariale, les promotions, les différentes primes et commissions… Mais l’argent seul ne favorise pas le bien-être salarié ! Il existe d’autres moyens plus essentiels. La communication entre l’employé et l’employeur constitue un facteur très important qu’un bon dirigeant d’entreprise doit prendre en considération pour la motivation des collaborateurs. L’employé doit pouvoir dialoguer très facilement avec son chef.
Le bon responsable d’entreprise doit être disponible et ouvert aux propositions de ses collaborateurs. Dans ces conditions, ils se sentent concernés par le développement de la structure et s’y engagent. Le style de management du Directeur de société doit être participatif et intégrer la responsabilisation de ses salariés, avec une garantie de confiance. La mise en place d’une Direction compétences RH dans l’organigramme permettra également d’analyser les performances de chaque travailleur et de planifier des formations ou des séminaires de remise à niveau contribuant à la motivation des collaborateurs.

Comment mesurer la motivation des collaborateurs ?

Dans un monde en mutation perpétuelle, le télétravail et le travail à distance constituent des moyens incitatifs pour certains métiers dont la présence sur le lieu de travail n’est pas forcément indispensable. Ce sont des moyens très efficaces pouvant contribuer efficacement à l’employé, lorsqu’il se sent autonome, d’offrir des prestations excellentes. De plus en plus d’entreprises optent d’ailleurs pour le télétravail, et les collaborateurs concernés s’organisent pour avoir un rendement identique à celui qu’ils auraient s’ils étaient dans les locaux de la structure.
En réalité, il n’existe pas de méthodes sûres pour mesurer avec précision le degré de motivation du personnel. Par contre, votre direction RH en entreprise peut mesurer le niveau de satisfaction des collaborateurs en faisant un sondage du personnel qui vous permettra de discerner la motivation des collaborateurs, de façon approximative. En perspective, vous pouvez rechercher un coach externe qui pourra vous aider à trouver les vraies solutions de motivation adaptées à chacun de vos travailleurs au sein de votre structure.

Comment peut-on définir la raison d’être en entreprise ?

C’est son objectif, le petit plus qu’elle va apporter à la société ou au public, en dehors de sa principale activité. Cette raison d’être d’une entreprise répond aux questions liées au développement durable. Lors de son intervention au sein du gouvernement français, Jean-Dominique Senard, un homme d’affaires français, a défini cette raison d’être comme un élément qui va permettre de relier le passé au présent. Il souligne que c’est l’ADN de l’entreprise et qu’elle n’a pas de liaison avec l’économie, mais elle est relative à la vision et au sens. Vous remarquerez que les entités anglo-saxonnes définissent cette raison d’être dans leurs statuts, notamment dans la clause où elles indiquent « purpose » ou « mission statement ».

La raison d’être de plus en plus évoquée

Suite au rapport de Jean-Dominique et Nicole Notat remis au Ministère de l’Economie en mars 2018, on revoit cette « raison d’être en entreprise » dans le centre des débats. Dans ce rapport, ces personnes connues du monde des affaires français donnent une définition à cette notion comme étant une réponse à court terme dans la gestion des entreprises. Elles mentionnent d’ailleurs que la raison d’être devrait être la ligne directrice des conseils d’administration dans la prise de décision.
Une année plus tard, s’inspirant de ce rapport, la loi relative à la croissance et à la transformation des entreprises, plus précisément la loi PACTE, voit le jour et reprend l’expression « raison d’être ». Dans ces textes, on peut comprendre que les entreprises peuvent évoquer leur raison d’être dans leurs statuts. Il est d’ailleurs mentionné que la raison d’être rassemble tous les principes que l’entreprise véhicule et qu’elle s’engage à respecter dans le cadre de la réalisation de son activité. Dans la loi PACTE, il n’y a pas d’obligation d’indiquer cette raison d’être dans les statuts, ce qui fait qu’à ce jour elle n’a pas encore d’existence juridique. De nombreuses structures choisissent de la formuler sans l’inscrire dans les statuts.

Quelques exemples de raisons d’être

Pour que vous puissiez mieux comprendre cette raison d’être en entreprise, nous allons vous présenter celles de certaines grandes structures. Vous pourrez également vous inspirer de celles-ci pour définir la vôtre. Pour Michelin, par exemple, c’est « offrir une meilleure façon d’avancer ». Dans son activité, Orange s’est fixé comme raison d’être « Etre l’acteur de confiance qui donne à chacune et à chacun les clés d’un mode numérique responsable ». Pour Carrefour, la mise en pratique de sa raison d’être qui est de « Proposer à ses clients des services, des produits et une alimentation de qualité et accessibles à tous » se traduit par son objectif d’être leader dans la transition alimentaire de tous, et ce, par la compétence de ses collaborateurs, sa démarche responsable et pluriculturelle, son ancrage dans les régions, sa facilité d’adaptation aux modes de production et de consommation.

Un outil collaboratif pratique

L’usage d’un écran tactile géant dans une salle de réunion est une pratique qui devient de plus en plus courante. Ses avantages sont indéniables étant donné que la plupart de ses fonctionnalités sont en parfaite adéquation avec l’usage premier d’une salle de réunion. C’est en réunion en effet que des collaborateurs se concertent et échangent leurs idées. Pour regrouper et recouper ces dernières de façon pratique, on peut miser sur l’écran interactif. Cet outil a l’avantage de fonctionner comme un smartphone, mais à plus grande échelle. Comme tout le monde utilise aujourd’hui des smartphones, tous les employés n’auront aucun mal à manipuler l’appareil. Cette prise en main facile rend l’écran géant pratique. En présentant les idées sur un écran géant, tous les collaborateurs peuvent se focaliser sur le même écran. On peut mettre des annotations rapides sur l’écran géant, on peut effacer des données, rajouter des informations, etc. Tout cela permet d’accélérer les prises de décision. En plus de participer à la co-production des contenus, un écran tactile géant est simple d’utilisation. De simples clics sur l’écran lui-même permettront d’enregistrer les idées retenues de manière à faciliter les brainstormings. Grâce aux suites de programmes pouvant y être intégrées, cet appareil est même en mesure de produire de manière automatique les comptes-rendus des réunions et de les répartir à chacun des participants.

Personnaliser les fonctionnalités de l’écran géant selon les besoins de l’entreprise

Pouvant fonctionner sous Androïd ou IOS, il démarre rapidement et permet des approches plus précises sur des points spécifiques à des projets donnés. Ce type d’écran est très pratique en salle de réunion dans la mesure où il peut aujourd’hui être doté d’un système d’exploitation (Windows la plupart du temps). Ce qui permet à chaque participant d’accéder à leurs outils métiers. À cela s’ajoute la spontanéité que procure le côté tactile de l’appareil. D’autres fonctionnalités de ce type d’écran permettent aussi la création d’espaces de travail virtuels performants, des post-its virtuels ou encore des nuages d’idées. Vous pouvez même concevoir des présentations sur un écran tactile géant pour ensuite les intégrer à vos réunions. Ainsi, lors des réunions, les participants peuvent intervenir dans les discussions en créant des schémas, en notant des idées dans un document Excel, en faisant un dessin, en exportant des images, etc. pour mieux expliquer leurs idées. Pour toutes ces raisons, l’écran interactif a sa place dans les salles de réunion puisqu’il facilite grandement les échanges et interactions entre les collaborateurs réunis dans une même pièce.

Un écran qui nous invite à repenser les réunions de bureau

L’écran tactile géant peut actuellement embarquer différentes applications. Celles-ci ont été spécifiquement conçues pour ce type d’appareil. Contrairement à un simple tableau interactif, son ergonomie et sa puissance s’en trouvent de ce fait renforcées. Ce type d’écran interactif permet aujourd’hui de multiples usages indispensables dans une salle de réunion (brainstormings, formations, développement de projets, etc.). Avec des modèles équipés de webcams, il devient possible aux collaborateurs de lancer des visioconférences ou d’effectuer des visio collaborations. C’est un outil imparable qui contribue à améliorer les communications entre les participants au cours d’une réunion en entreprise. Un store répondant spécifiquement aux besoins des entreprises propose même différentes applications gratuites pouvant s’intégrer aux écrans tactiles géants. Ce qui permet d’une certaine manière de repenser également les réunions de bureau classique.

Prévoir d’importants frais à payer

La première démarche qui exigera des frais, c’est la réalisation d’une étude de marché. Plus vous la voulez précise et détaillée, plus les frais sont élevés. Puis vient le moment d’établir un business plan qui peut coûter entre 150 et 600 euros hors taxes. Vous pouvez faire appel à un expert comptable pour ce montage mais il peut ne vous réclamer que moitié prix si vous réalisez la mission comptable avec lui.

D’autres frais préalable à prévoir

Il ne faut pas oublier les autres frais préalable indispensables à la création de votre entreprise. Par exemple, avez-vous calculé les différents frais de déplacement à payer de votre proche pour rencontrer vos futurs fournisseurs, vos partenaires, associés ou investisseurs ? Et si vous voulez vous faire connaître avant le lancement de votre entreprise, cela engagera forcément des dépenses. Que ce soit pour des publicités ou des flyers annonçant le lancement futur de votre entreprise, ou encore pour une campagne adwords, c’est payant et le coût dépend de l’envergure que vous voulez donner à ces publicités. Puis, il y a le dépôt de marque, si vous souhaitez en faire un, qui coûte 225 euros hors taxes, le dépôt de brevet, pour un coût entre 500 et 700 euros, davantage si vous faites appel à un expert pour vous accompagner, le dépôt de dessin, de 30 à 150 euros HT.

La routine

Avec le temps, la force de l’habitude ou le manque de perspicacité, n’importe qui peut tomber dans certaines erreurs qui peuvent s’avérer fatales. L’important est donc de mettre le doigt dessus, s’analyser et opérer les changements qui s’imposent. Il y va de votre entreprise, de votre notoriété dans le milieu où vous travaillez, alors, prenez le temps d’y réfléchir soigneusement. Mais quelles sont quelques-unes de ces erreurs qu’il faut éviter à tout prix ? Par exemple, le fait de croire que les consommateurs prendront le temps de lire les brochures et les flyers que vous imprimez et distribuez dans les boîtes aux lettres. En réalité, rares sont les personnes qui les lisent, aussi, vos efforts dans ce sens n’apporteront pas les résultats escomptés. Et plus grave encore, vous aurez perdu et de l’argent et du temps pour les mettre au point, en faire l’impression, etc. Aussi, arrêtez cette stratégie inefficace.

A quoi devez-vous prêter attention ?

N’oubliez jamais que votre survie, votre pérennité dépendent en grande partie de la réaction des consommateurs. Votre premier rôle est donc de vous concentrer sur ce que veulent réellement les consommateurs. Ce qui veut dire en amont, comprendre ces besoins, attentes et envies, les identifier clairement et ensuite, proposer des produits et des services adaptés. Pour être sûr de comprendre ce que désirent vraiment vos clients potentiels, de simples suppositions ne suffisent pas. Ne vous basez pas sur des généralités, sur des ouï-dire, ce une erreur qui pourrait vous coûter chère. Il vaut mieux investir dans une agence ou des outils dédiés aux études de vos clients et de leurs comportements. Ce peut être les outils de Google tels que Keyword Tool, Analytics ou Trend. A partir des résultats de ces études, vous serez à même de prendre les bonnes décisions.

Un soin particulier pour vos publicités

Les publicités sont la clé de voûte de vos opérations marketing, c’est certain. Mais il faut vous montrer vigilant quant à leur contenu et le message véhiculé. Même si des entreprises le font, évitez coûte que coûte de créer des publicités qui attaquent ouvertement l’un ou plusieurs de vos concurrents. Pourquoi cela ? Parce que vous pensez peut-être que cela augmentera votre image auprès des consommateurs, mais peut-être bien que non. Ce qu’ils vont faire, c’est de comparer vos produits ou services à ceux de vos concurrents et si les vôtres ne sont pas au top, vous aurez fait de la publicité pour vos adversaires et vous perdrez définitivement vos clients. C’est donc une stratégie trop risquée et inutile. Et puis, n’appuyez pas trop sur l’image de marque, cela ne va pas améliorer la qualité de ce que vous vendez. Améliorez plutôt vos produits et services.

La réussite au coeur de votre management

Mais pour que le travail se déroule dans les meilleures conditions, vous êtes conscient qu’il faudra vous montrer plus ferme lorsque l’un ou certains de vos subordonnés sortent des rangs. Prévenez le fautif que vous aimeriez avoir un entretien avec lui à telle date, à telle heure, dans tel bureau. De votre côté, préparez ce que vous allez dire, n’oubliez rien, notez si besoin les points à éclaircir, par ordre d’importance. Répétez-vous que cet entretien n’a pas pour but d’enfoncer davantage votre subordonné mais de mettre les points sur les « i » et pour que la collaboration continue au mieux. Le jour venu, exprimez clairement ce que vous lui reprocher, avec preuves à l’appui, et dites-lui ce que vous attendez qu’il fasse en guise de réparation. Soyez le plus limpide qui soit, tout en étant calme et zen.

Un dialogue

Faites en sorte que cet entretien soit un dialogue et non un monologue dont vous serez le seul à prendre la parole. Lorsque vous avez fini, donnez-lui l’occasion de présenter les choses de son point de vue, il aura encore plus de respect envers vous car vous ne vous comportez pas en despote dictateur envers lui. Demandez-lui ensuite de reformuler vos attentes afin de vous assurer qu’il a bien assimilé votre rappel à l’ordre et vos directives. Qu’il dise ce qu’il envisage de faire pour atteindre les objectifs que vous lui avez fixés. Si nécessaire, mettez par écrit ce qui vient d’être dit pour que le dérapage commis ne se reproduise plus et ensuite, surveillez-le de près pour suivre son évolution.